Une phrase d’accroche LinkedIn percutante, c’est ce qui fait la différence entre un post invisible et un contenu qui explose les compteurs (et c’est ça qu’on veut). 😏
Pourtant, c’est souvent la partie qu’on écrit trop vite, en se disant que le post est plus important… énorme erreur !
Sachez qu’une bonne accroche, c’est 80% de la performance de votre post. Voilà, c’est dit. 👀
C’est pourquoi, nous allons vous expliquer : 👇🏼
- Une méthode simple pour écrire de bonnes accroches.
- Des formats qui fonctionnent vraiment.
- Des erreurs à éviter absolument.
- Des conseils pratiques à appliquer dès aujourd’hui.
Prêt à rendre vos phrases d’accroche à tomber par terre ? Alors c’est parti ! (Temps de lecture : 4 minutes).
Qu’est-ce qu’une phrase d’accroche LinkedIn ?
Une phrase d’accroche LinkedIn, c’est la toute première ligne visible de votre post, celle qui s’affiche avant le bouton « Plus ». Et c’est là que tout se joue. 👀
Si cette phrase ne déclenche aucune émotion, ne génère aucune curiosité ou ne donne aucune promesse claire, le reste de votre contenu ne sera jamais lu, peu importe sa qualité.
Faites comme si vous étiez consommateur de votre contenu, votre accroche vous donne-t-elle envie de cliquer ?
Concrètement, une bonne accroche doit remplir 4 objectifs :
- 1️⃣ Susciter une émotion primaire ⭢ curiosité, surprise, colère, admiration, empathie.
- 2️⃣ Poser la thématique ⭢ le sujet du post doit être clair en une phrase.
- 3️⃣ Exprimer la valeur ⭢ quel bénéfice, apprentissage ou insight le lecteur va-t-il en tirer ?
- 4️⃣ Provoquer l’envie de cliquer sur « Plus » ⭢ avec une accroche ouverte, une question ou un effet de tension.
Voici 3 quelques pour que vous compreniez mieux de quoi je parle ! ⬇️
« On a levé 3 millions. Et c’est une énorme erreur. »
« J’ai refusé une offre chez Google. Voilà pourquoi. 👇🏼 »
« Il m’a fallu 7 ans pour comprendre ça. Ne faites pas la même erreur ».
Dans chacun de ces exemples, on retrouve un élément émotionnel fort, un sujet clair et une promesse de valeur. Résultat, l’utilisateur a envie de cliquer. 😉
N’hésitez pas à utiliser les emojis 👇🏼 ou ☝🏼 en fin d’accroche. Ils attirent l’œil et poussent inconsciemment à cliquer sur « Plus ».
La méthode PAC : le framework qui marche (presque) à tous les coups
Si vous ne devez retenir qu’une seule structure pour écrire une bonne phrase d’accroche LinkedIn, ce serait celle-ci. Un acronyme simple pour dire Postulat, Agitation, Call-to-clic.
Ce framework est rapide à prendre en main et adaptable à tous les types de contenus (storytelling, conseils, analyses, opinions).
Voyons en détail chaque étape ! ⬇️
1.Postulat
C’est le point de départ. Vous posez un fait, une opinion ou une observation. Il doit capter l’attention en une seule phrase. 💬
Et si possible, déclencher une émotion primaire (ce dont on a parlé tout à l’heure, curiosité, colère, indignation, admiration, etc).
« J’ai quitté mon job à 150k€/an chez Netflix. »
« J’ai passé 3 ans à faire semblant de bosser ».
L’objectif est d’interrompre le scroll. Pour ça, n’hésitez pas à formuler quelque chose de surprenant, voire de mystérieux.
2. Agitation
Vous allez maintenant amplifier la tension ressentie lors de l’étape 1. En gros, vous devez rendre le sujet encore plus engageant, concret ou intrigant.
Pour cela, voici quelques petites techniques que j’utilise personnellement : 👇🏼
- Ajouter un chiffre fort ou une donnée inattendue.
- Exprimer un ressenti émotionnel.
- Introduire un retournement de situation.
- Employer des mots qui piquent ou interpellent.
Par exemple :
« Tout le monde m’a dit que j’étais fou. Mais je le referais 100 fois. »
« Je bossais 4h par semaine, le reste du temps, je scrollais LinkedIn en espérant qu’on me dise quoi faire ».
C’est l’étape qui donne du relief à votre message.
3. Call to clic
Pour cette dernière étape, on veut provoquer le clic. L’idée est en fait de donner une raison claire de cliquer sur « Plus ».
Pour cela, vous avez 2 options :
- 1️⃣ Explicite : avec une formule du type « Voici pourquoi », « Je vous explique », « Détails juste ici ».
- 2️⃣ Implicite : la tension ou le mystère est tel qu’il suffit à inciter au clic.
« Je vous explique ce que j’ai appris 👇🏼 ».
« Et pourtant, cette décision a tout changé ».
Conseil : testez les deux approches et voyez celle qui explose vos engagements.
9 formats d’accroches LinkedIn qui cartonnent
1) Le PAC classique
Je ne vous le présente plus, on commence par le PAC, simple, efficace et universel !
Dans votre post LinkedIn, vous racontez un début d’histoire, vous créez une tension et vous donnez envie de cliquer pour connaître la suite.
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous débutez sur le réseau social LinkedIn.
- Vous voulez raconter une expérience ou faire une analyse.
Voici un exemple de phrase d’accroche LinkedIn avec la méthode PAC. 👇🏼
Ici, on applique les principes à la lettre.
- 1️⃣ Postulat : « En 6 mois, on est passé de 6 à 25 ». C’est assez rare donc surprenant.
- 2️⃣ Agitation : “On est en mars 2021 et je me demande si ma boite va couler”. Rupture de pattern. Ils sont passés de 6 à 25 mais en fait c’est la merde. Surprise.
- 3️⃣ Call-to-clic : “2 ans après, ça tourne comme une horloge (grâce à 3 décisions) ⬇️.
Je veux définitivement savoir ce qu’il s’est passé. En plus, l’info va être structurée en 3 décisions que je pourrai peut-être m’approprier, et l’emoji ⬇️ m’incite à cliquer.
Les ➕ : c’est simple et efficace, ça met toutes les chances de notre côté. Faut démarrer avec ça et s’entraîner dessus avant de passer aux autres.
Les ➖ : c’est toujours la même “musique”, ça peut lasser un peu l’audience.
Vous jouez sur la curiosité, la tension et la promesse.
2) Le « 3 en 2 »
Ici, c’est court et tranchant. 🔪 Deux phrases et trois informations.
Ça coupe le scroll avec un effet « boum boum » (pas comme Netflix) 😉.
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous avez un message court mais fort.
- Vous voulez combiner chiffres et émotions.
Ici, le Call-To-Clic est implicite.
Le postulat-agitation est si puissant qu’il se suffit à lui-même. Pas besoin d’en dire plus, on veut en savoir plus. 👀
Les ➕ : le style. Faire une accroche aussi impactante avec aussi peu de mots (donc de charge cognitive) est une prouesse.
Elle s’accompagne souvent d’une photo.
Les ➖ : C’est dur à maitriser. Je ne la recommande pas aux débutants.
Ce format laisse entendre une histoire condensée. Le lecteur a envie de connaître le contexte.
3) La liste à compléter
On commence une liste et on la coupe. C’est bien connu et ça génère de la frustration chez le lecteur.
On veut voir les points suivants, donc on clique ! 😅
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous avez un contenu « tips », « outils », « erreurs ».
- Vous partagez une méthode ou des apprentissages.
Ici, le Call-To-Clic, c’est la liste à continuer. 📋
Les éléments de la liste dans l’accroche peuvent paraître anodins, mais ils sont choisis avec minutie. Ce sont ces premiers éléments qui amènent au clic.
Les ➕ : assez facile à utiliser et efficace.
Les ➖ : attention à bien choisir les premiers éléments. Il faut avoir des informations suffisamment impactantes pour que ça fonctionne.
L’effet Zeigarnik en action : notre cerveau n’aime pas l’inachevé.
4) Les deux points de tension
Ici, on annonce une situation. On prend un tournant tout autre. Ça surprend, intrigue, et ça marche ! 👌🏻
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous avez vécu un rebondissement pro/perso.
- Vous voulez surprendre.
Les ➕ : si la tension est bien créée sur les 2 premières lignes, c’est un succès absolu. (Le post de Jordan sur Leroy Merlin, c’est autour de 3M de vues).
Les ➖ : cette accroche demande un peu de subtilité et est plus complexe qu’elle en a l’air. Beaucoup de débutants s’y essaient sans succès. 😕
Le cerveau veut comprendre comment on est passé de A à Z.
5) La tension narrative
Là, on rentre dans le storytelling pur. Vous parlez de quelque chose d’humain, d’un moment fort ou encore d’une anecdote. Le lecteur se sent impliqué, comme s’il était acteur dans ce film. 🎥
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous racontez une expérience forte ou atypique.
- Vous misez sur l’émotion ou l’inspiration.
Les ➕ : idéal pour les posts de storytelling. Créer de la tension narrative qui donne envie au lecteur de connaître l’histoire. Accompagné d’une image en lien avec l’histoire, c’est bingo.
Les ➖ : Nécessite la maîtrise des basiques du storytelling.
Ce format humanise votre contenu.
6) L’air de rien
Bon pour celle-ci, on dirait que ce n’est pas une accroche. C’est simple, sobre et ça fonctionne. Parce que ça tranche avec le reste ! 👀
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous êtes à l’aise avec un ton personnel ou vulnérable.
- Vous voulez donner l’impression de « parler vrai ».
Il faut souligner que souvent, ces accroches ont 2 modes :
- Le mode mobile (où le texte est bien fini),
- Le mode ordi (où le texte continue).
Mode desktop. ⭣
Mode mobile. ⭣
Les ➕ : donne une continuité au post, comme si l’accroche n’était pas spécialement travaillée. C’est agréable et ça change de la majorité des posts.
Les ➖ : c’est plus risqué, faut bien savoir où le texte va s’arrêter, choisir la bonne phrase et les bons mots. Bref, ça demande un peu de maîtrise. 😎
C’est désarmant. On veut savoir ce qu’il y a derrière.
7) La méthode 75%
Alors pour celle-ci, c’est assez simple. Vous donnez 75% de l’information, et vous gardez le reste pour le « Voir plus ». Ça marche très bien pour les sujets choquants, sensibles, voire inspirants. ⚡️
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous voulez provoquer la curiosité.
- Vous avez un message fort à délivrer.
Les ➕ : une accroche percutante qui présente clairement le sujet (quitter un job chez Netflix malgré 150K€) tout en créant de la curiosité grâce aux 25% d’incertitude.
Les ➖ : si mal appliquée, cette méthode peut laisser une impression trop vague ou frustrer le lecteur, notamment si le lien entre l’accroche et le contenu n’est pas clairement établi.
Utilisez la méthode 75% pour ‘make your point fast’ : annoncez l’essentiel dès le début et laissez planer juste assez de mystère pour capter et retenir votre audience.
8) L’accroche visuelle
Pour finir, cette accroche, c’est l’image qui est à l’honneur ! Le texte vient renforcer, contextualiser ou teaser ce que montre la photo. 📸
Vous pouvez l’utiliser si :
- Vous pouvez une photo forte (émotion, résultat, témoignage).
- Vous avez un bon storytelling visuel.
Quand un post est illustré par une image, c’est l’image qui devient le “hook” (l’élément qui fait stopper le scroll).
L’accroche vient déterminer ensuite s’il va cliquer sur Voir plus.
Et comme l’humain aime les visuels et les images, ça marche. (J’observe qu’un post avec une image bien choisie, c’est x2 sur les vues en moyenne.) 👀
Il y 2 types d’images à utiliser :
1️⃣ Les photos d’humains (90% des posts) :
- Les ➕ : c’est un peu le mode LinkedIn facile. Idéal pour les débutants. Un petit filtre noir/blanc ou sepia, et c’est le pactole.
- Les ➖ : l’image doit être bien choisie, générer une émotion.
2️⃣ Les visuels “construits” (10% des posts) :
- Les ➕ : en s’inspirant des visuels YouTube, c’est très puissant et a un vrai effet de hook.
- Les ➖ : c’est quitte ou double. J’ai fait mes meilleurs posts comme mes pires flops avec cette technique.
C’est le scroll-stopper le plus naturel sur LinkedIn.
Les erreurs les plus fréquentes (et comment les corriger)
Même avec les meilleures intentions, il est facile de rater son accroche LinkedIn. Vous verrez, souvent ce sont les mêmes erreurs qui reviennent encore et encore…
Ne vous en faites pas, on vous les donne tout de suite, avec en prime, une explication sur comment les corriger. 😇
1) Accroche trop courte
« Top 5 des outils pour booster ta productivité ».
Cette accroche est trop neutre, trop sèche, et surtout, on ne ressent 0 émotion. Résultat, personne ne clique. 🥹
À la place, essayez de contextualiser et surtout, de créer une tension.
« 70% des gens se disent distraits au travail. Pourtant, il existe des outils simples pour rester focus. Voici mes 5 préférés 👇🏼 »
2) Gros pavé dès le départ
« J’ai changé de job récemment, et je voulais partager ce que ça m’a appris sur la manière de gérer une transition professionnelle, parce que ce n’est jamais simple de quitter un poste qu’on aime, surtout quand on a des collègues géniaux et des projets intéressants ».
Si vous faites ça sur LinkedIn en b2b, c’est comme si vous vous preniez un mur. Échec garanti, la personne continue à scroller. 🥲
À la place, aérez votre accroche, limitez-vous à 1 à 2 phrases par paragraphe, et laissez respirer votre texte !
« J’ai changé de job récemment.
Et j’ai compris un truc fondamental sur les transitions pro.
Spoiler : ce n’est pas une question de timing. »
3) Trop vague ou abstrait
« J’ai vécu quelque chose d’incroyable cette semaine ».
Ok mais, quoi ? Avec qui ? Pourquoi ? Cette accroche donne 0 contexte et perso, ne me procure 0 curiosité.
« Je me suis pris un « non » en pleine tête pendant un pitch.
Mais c’est ce refus qui a lancé ma carrière. Voici pourquoi 👇🏼 ».
Presque, mais l’accroche ne donne pas de contexte… 💭
« Un investisseur m’a raccroché au nez en plein pitch. Voilà ce que j’ai appris ».
Soyez concret dès les deux premières lignes.
4) Pas de tension, pas de promesse
« Le mois dernier, nous avons enregistré notre plus gros mois depuis 4 ans. »
C’est bien connu, une accroche qui décrit quelque chose sans enjeu, ça donne pas envie de cliquer.
« Mon meilleur mois ? juste après avoir viré mon plus gros client ».
Boum, élément de surprise ou de mystère, on veut savoir la suite ! 👀
5) Mauvais choix d’image (ou pas d’image du tout)
Le visuel est votre premier scroll-stopper. Une photo floue, impersonnelle, ou sans rapport, c’est la fin de votre post…
Pour y remédier :
- 🟤 Une photo authentique (vous, votre environnement, un moment clé).
- 🟤 Un visuel « miniature YouTube » si vous êtes à l’aise avec le montage.
- 🟤 Un élément de preuve (screenshot de message, courbe, résultats).
6) Ne pas utiliser les 3 lignes
« Top 5 des outils pour augmenter ta productivité ».
C’est une phrase classique qu’on entend tous les jours, elle ne provoque aucune réaction.
« 87% des gens s’estiment distraits dans leur travail.
Pourtant, il existe des trucs de base pour rester focus.
Top 5 des outils pour x2 ta productivité ⬇️ ».
On pose un constat, on a un chiffre, on a envie de savoir c’est quoi les outils qui x2 ma productivité.
7) Faire un gros pâté
La forme d’une accroche est importante. Les gros pâtés sont rebutants et donc, pas lus. 👀
« La majorité des contenus sur le web sont du bullshit. Ils ne servent qu’à ranker sur Google sans délivrer de valeur. C’est pour ça qu’on a décidé de faire un article, comme ça, un peu différent, avec plus de fond. »
Bon là, elle donne clairement envie de fuir, trop lourd, trop « bloc ». À la place, dites plutôt. ⬇
« La majorité des contenus sur le web sont du bullshit. Ils ne servent qu’à ranker sur Google sans délivrer de valeur.
Alors, on a fait l’inverse : un contenu super-activable pour x2 tes ventes (et c’est gratuit) ⬇️ ».
8) Être trop vague
« J’ai vécu quelque chose d’incroyable cette semaine ».
C’est trop flou, ça n’éveille ni l’intérêt, ni la curiosité. 😶🌫️
« La semaine dernière, j’étais avec la crème des entrepreneurs à impact. La plupart sont bien plus jeunes que moi.
Pourtant, ça m’a mis une claque. Je t’explique ».
9) Le combo perdant (accroche + image + guillemets inutiles)
Ici, on retrouve tous les mauvais ingrédients :
- Une accroche vague.
- Une seule ligne non aérée.
- Des guillemets qui servent à rien.
- Une image qui n’a rien à voir avec le propos.
Bonus : et si Kawaak écrivait vos phrases d’accroche à votre place ?
On a vu que rédiger une bonne phrase d’accroche LinkedIn, c’est tout un art. Ça demande :
- De comprendre les mécanismes d’émotion et de curiosité.
- De connaître les bons formats.
- De tester plusieurs variantes.
- D’avoir un œil extérieur.
Eh bien, c’est justement pour ça qu’on a créé Kawaak. 🤯
Il s’agit d’un générateur de posts LinkedIn pensé par des gens qui savent ce qui fonctionne vraiment.
Contrairement aux autres outils IA, Kawaak ne sort pas des textes randoms qui sentent l’IA à plein nez.
Avec la version Freemium, vous pouvez déjà :
- Générer plusieurs phrases d’accroche pour un même sujet, inspirées des meilleurs formats (PAC, tension, storytelling).
- Créer des posts complets en partant d’un mot-clé, d’une idée ou même d’une punchline.
- Programmer vos publications directement sur LinkedIn pour gagner du temps.
- Enregistrer vos contenus dans une bibliothèque d’idées et les retravailler plus tard.
- Tester différentes variations pour voir celles qui performent le plus.
Bref, testez Kawaak (c’est gratuit). 🆓
Et si on se faisait un récap ?
Vous publiez un post sur LinkedIn, il ne se passe pas grand-chose. Allez, quelques likes, deux commentaires, 2 000 vues.
Mais trois semaines plus tard, vous republiez le même contenu. Rien n’a changé, sauf deux choses :
- Vous avez travaillé votre phrase d’accroche LinkedIn.
- Vous avez changé le visuel.
Résultat ? x8 plus de vues. Des commentaires, de l’engagement, de la portée organique, grâce à votre nouvelle accroche !
Ok, dernier exemple concret.
Sur cette version :
- Je n’ai pas utilisé les 3 lignes.
- Le postulat ne génère pas d’émotion.
- Le visuel est sans intérêt (bitmoji, texte trop lisse).
Sur cette version :
- Le postulat est fort : il parle d’un vrai problème que tout le monde a remarqué.
- L’agitation est bien présente avec un twist inattendu.
- Le visuel (screenshot de stats crédibilise le propos.
Bref, c’est le même contenu, mais le résultat est complètement différent. 👀
Alors oui, ça vaut le coup de passer 80% de son temps sur les 3 premières lignes. 😉
Quelles sont les meilleures phrases d’accroche ?
Les meilleures phrases d’accroche sont celles qui déclenchent une émotion immédiate, posent le sujet et donnent envie de cliquer sur « Plus ».
Voici quelques exemples qui fonctionnent très bien :
- 🟤 « On a levé 3 millions, et c’était une énorme erreur ».
- 🟤 « J’ai quitté un job à 150€k/an. Jamais été aussi heureux ».
- 🟤 « Il m’a fallu 7 ans pour comprendre ça. N’attendez pas aussi longtemps ».
Les formats qui cartonnent : le PAC, les listes incomplètes, les paradoxes, les tensions narratives.
Quelle est une phrase d’ouverture accrocheuse ?
Une phrase d’ouverture accrocheuse est une accroche en une ligne qui arrête le scroll et intrigue immédiatement.
Voici quelques exemples pour comprendre :
- « On a perdu notre plus gros client. Et c’est la meilleure chose qui nous soit arrivée. »
- « Je ne pensais pas publier ça un jour. Mais il faut que je le dise. »
- « Premier contrat : 300€ pour 3 semaines. Aujourd’hui, je facture ça… à la journée. »
Objectif : générer suffisamment de tension, de surprise ou de curiosité pour inciter à cliquer sur « Voir plus ».
Bon, je pense que vous êtes à présent rodés pour réussir votre prochaine phrase d’accroche LinkedIn. 😇
